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M´acagum, catsellà

M´acagum la puta tercera, segona i primera hora de CATSELLÀ a les escoles! De fet em cago en la puta llengua castellana a l´escola ! (henke)

M´acagum la puta tercera, segona i primera hora de CATSELLÀ a les escoles! De fet em cago en la puta llengua castellana a l´escola !



¿Creen ustedes que este enfermo se habrá curado desde entonces?

catalán = castellano, Castelongne, Cathelongne

tomo II continuación I

Sesión del día 27. 


Dióse cuenta de la siguiente carta del duque de Berry, presentada por Bernardo de Gallach.

Núm. 110. Tom. 16. fol. 646.

noz trechers e bons amis les gents del parlamant de Cathelongne. - Jehan filz de roy de Françe duch de Barri e Damogue comte de Poitou Destampes de Boloingne Daungrie lieutenant de monsengneur le roy en ses pais de Languedoch e duchie de Guienne a nos treschers e bons amis les gents du parlement de Castelongne salut. Treschers e bons amis: nous avons entendu que de present vous estes asemblez pardela pour vaquer e entendre de tout vostre povoyr a farre farre e administrer bona rayzon e justice a celui auquel de droit apartendra e droit appartenir la corroune Daragon. Donc treschers e bons amis nous vous remercions bien affectuosament et avone a voz bones leyautez e proudomies cele si bonne confiança que en bonne justice vous haurets le bon droit de nostre tres chere e tres ame meire la royne de Sicile e de nostre tres chier e tres ame neveu mossengneur Loys son filz en bona recomendacion: en quoy bonns freres vostro devoir e farets a monsegneur le roy a nous touz dun sanch reyal e de la mayson de Françe tresingulier et parfayt plair e a nostre povoir ne souffretons que par gents darmes soit donne ou fait en pais Daragon aucun serief ou donnatige. E pouere que nous avons entendu que ung heraut este pardela e a fait certanis sinistres ruppots nous vous certifions que cenamie este de nostre seu volute e continuadament: et se aucimement pardela on voluoit metre le bon droit et la bone justice de nostre dite mer e de nostre dit neveu en delay et que bonement croyre ne pourrions nous somes certanis que mon dit sengneur pendroit grat despalaisance e metroit penne a garde son droit comme rayson est et nous de nostre povoir et ne le pourrions bonnement soufir. Tres chers e bons amis se cose voles que nous puissons vueyllez le nous signifier e nos la ferrons de buen cuer et voluntiers. Le sanct Spirit vous ait en sa saincte guarde. Escrip en nostre ville de Bourges le IIIIme jour davrili. - Bours (1).

(1) Trasladamos este documento con entera conformidad al registro, y tal como debe leerse según reglas paleográficas, prescindiendo de enmendar los muchos yerros de que está evidentemente plagado, y que cometería el escribiente al registrarlo, ya por no serle muy conocida la letra francesa en que vendría escrito el original, ya por serle estraño aquel idioma. Al lector instruido le costará muy poco el sustituir dommatge o dommage a donnatigevolonté a volute, pour ce o parce a pouere, commandement a continuadament, etc.; pero nosotros hubiéramos faltado a la debida fidelidad, si hubiésemos presentado el testo con semejantes correcciones. En algunas de las actas de este parlamento abundan tales descuidos de los amanuenses; pero los hay en menor número en la parte catalana o latina, crecen en la castellana, y suben de punto en los documentos escritos en algún idioma estranjero. Aunque en las escrituras de la primera clase hemos procurado despojar el testo de todos aquellos defectos accidentales, como dice Capmany, que no son los que caracterizan el gusto de las naciones, ni la corrupción literaria de tal siglo o tal reinado, sino la torpeza o capricho personal del secretario o escribiente; no nos hemos atrevido a tanto respecto de los instrumentos escritos en idiomas estranjeros, ya porque, siendo más defectuosos, hubiera sido necesario rehacerlos enteramente; ya también por no esponernos a cometer nuevos yerros, al manejar y recomponer una lengua que no es la de nuestro país ni de nuestros tiempos: aun así presenta a veces suma dificultad el descifre y traslado de papeles escritos en idioma estraño, porque falsean a cada paso las reglas paleográficas, si nos es desconocido el lenguaje, y si no podemos comprender el sentido, enlace y relación de unos vocablos con otros. Sirva esta nota de advertencia general para todos los traslados o copias de escrituras continuadas en esta Colección.


catalán = castellano, Cathelongne, Castelongne

chatelain, Frederic Mistral, Felibrige

Un atra carta aon podem vore Cathaloigne y Bourgoingne :

Núm. 390. Tom. 21. Fol. 1822.

A moult nobles honorables et sages sires et grans amiz le vezcomte Dille et de Canet lo gouverneur de Rossillon et les consols de la vila de Perpinen. - Molt nobles honorables et sages sires et grans amiz: plaise vous assaver que comme par le comandement du roy mon souverain seigneur ja piessa a moy fait dentrer en icelui royaume et seigneurie Daragon pour garder aidier et soustenir la pure et vraye justicie sur le fait de la succession du dit royaume et garder que par forçe impression ne autre maniere illicite icelle seigneurie ne soit occupee et soumisse a tirennie et que la tres haulte et tres puissant princesse la royne de Jerusalem et de Sicile fille du feu roy Johan Daragon de glorieuse memoire ou mosegneur mossen Loys son ayme filz ne soient injurieusement ne par fraude ou impression forgites de la succession de son dit pere ou ayeul et soit ainsi que le roy mon souveran seigneur lays signiffie a la tres haulte et puissant princesse la royne Yoland Daragon sa cousine et a ses ambaxadeurs estants pour lours a Barcelone et le dite dame par un des ditz ambaxadeurs vous a fait prier et requerir que vous me voulisses recullir et les gens darmes qui vendroient en ma compaignee pour la cause dessus dite et non pour porter ne fere vilennie ne oultrage a nulli qui soit des dites seigneuries Daragon ainsi comme amiz bien vuallans et celux qui venant pour garder mantenir servir et honnourer ses dites seigneuries et non aututrement offandre et ainsi comme louneur et la haultesse et excellence du seigneur qui menvoye le requeroit et que vous qui estes et avez este jusques ici au dit seigneur voisins et bon amiz monstressiez exemple damour e toute douceur a toz les autres: sur la quelle requeste selon que je suy informe fut par vous moult noble governeur respondu avec deliberacion de voz hounourables et sages consolz et conseillers que vous en rescripriez au parlament de Cathaloigne et que selon que le dit parlement vous en respondroit vous en feries et men respondries: de la quelle responce la dite royne ma tres redubtee dame la quelle vouz a tous diz amez gardez et honnourez et pour houneur delle avez reccuz tant de bienz et de houneurs et prenez encorez de jour en jour a et doit aver este bien petittement: et quant a moy je men merveille moult et encores plus que non obstant les dites gracieuses offers et parolles et autres les quelles continuement vous ent este dites en vostre ville vous ne voulez prandre aucune confiance en dit roy mon souveran seigneur ainç avez fait et fetes gens darmes pour moy resister ce que nous ne autres des dites seigneuries navez encores entreprius ne essaye contre nul des autres competiteurs ja soit ce quilz ayent miz et metent encores gens darmes en les dites seigneuries et y ayent fait et porte grans et irreparables dommages et non obstant que plusere foiz que vous et les autres tant aux parlemens comme per les notables cites et villes ayez este sommes et requis a grant instançe encores derrerement par le ault et puissant seigneur monsieur le comte de Vendosme de par le dit seigneur que vous voulissiez fere el garder equalite en la poursuite de la dite justice et que toutes gens darmes buidassent et que si vous voulieu aide a les de bouter que vous lauriez prontement aux despens du dit seigneur ou au plus fort que vous souffrisiez que de la part du dit seigneur en fust mis pareilli nombre comme les autres competiteurs desquelz ni a cellui qui de cler droit aultesse puissance ne juste poursuite aye ne doye surmonter le dit seigneur pour quoy vous les devez plus favoriser que le dit seigneur ne moy et les autres qui venons par son commandement: pour quoy moult nobles hounourables et sages sires encores je vous signiffie que mon entencion nest ne na este ne aussi je nay commandement de fere ne porter dommage a nulli subgite ne habitant des dites seigneuries ains vueli et entens avec toute ma compaignee passer en paient mon escot raisonnablament a la fin dessus dite davoir obtenir declaracion de justice et reparacion sur aucune inique et injuste nominacion et eleccion daucunes persounes du dit seigneur et a sa dicte cousine tres suspectes par causes justes vrayes nottories et tres rasounables. Et pour tant moult nobles hounourables et sages sires de par le dit seigneur et aussi de par les tres haulz et puissans princes et dames le roy et royne de Jerusalem et de Sicilie les duc de Guienne et de Bourgoingne et autres seigneurs de son sanch je vous prie et requier tant que je puis que en ma dite entree vous dounez et fetez douner a moy et a ma compaignee viurez logis et autres choses a moy et a ma dite compaignee necesseres conduit conseilli conffort et aidi ainsi que pour le bien de la besoigne verrez et cognoisceres estre expedient et necessere a la fin et intencion dessus dites et ainsi comme les diz seigneurs et dame et moy jusques a ceste foiz en avons eu perfecte confiance et tellement quilz doient demourer contens de vous. Et sur ce moy fere responce de vostre bonne et clere intencion: et si riens voulez que le puisse signiffies le moy quar ainsi comme jusques ici ne vous aye escondit de riens que par nul de celle ville maye este requis je metray poyne de lacomplir. Moult nobles hounourables et sages sires et grans amiz je pri au benoist filz de Dieu que pour sa sancta grace vous doine boune vie et longue. Script a Nerbonne le Xe jour de juny. - Bouciquaut mareschal de France.

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(Extracto del apéndice de documentos IX, 9, del viaje literario a las iglesias de España, tomo 8)  

XIIII. Kal. Augusti anno Dñi M.CC.XC. (1290) fuit captum, dirutum, et distructum per exercitum civitatis Barchin. castrum de Episcopali (Castellbisbal), ratione raubarie, quam Bartholom. de Episcopali (Bisbal) miles et castellanus dicti castri fecerat Michaëli Bartholomei carnifici, et aliis hominibus Barchinone

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¿Tos enseñen los catalanés textos com este?

¿Tos enseñen los catalanés textos com este? Lo valensiá es y sirá sempre un idioma reconegut, que no tos conton mentires, que es lo seu.


valenciano, castellano, catalán, tost, toste, laxare, lexar, lejar, deixar, dejar, dixá, leixar, laisser, dretura, retre, discursos leídos ante la Real Academia Española en la recepción pública de Luis Fullana.

valenciano, castellano, catalán, tost, toste, laxare, lexar, lejar, deixar, dejar, dixá, leixar, laisser, dretura, retre, discursos leídos ante la Real Academia Española en la recepción pública de Luis Fullana. 

discursos leídos ante la Real Academia Española en la recepción pública de Luis Fullana.

¿Vos ensenyen els catalaners texts com este? El valencià es i será sempre un idioma reconegut, que no vos mentixquen.

Luis Fullana, valenciano, castellano, catalán, tost, toste, laxare, lexar, lejar, deixar, dejar, dixá, leixar, laisser, dretura, retre

valenciano, castellano, catalán, tost, toste, laxare, lexar, lejar, deixar, dejar, dixá, leixar, laisser, dretura, retre, discursos leídos ante la Real Academia Española en la recepción pública de Luis Fullana. 

mallorquín - castellano - latín , Juan José Amengual

Nuevo diccionario mallorquín - castellano - latín
Don Juan José Amengual


Nuevo diccionario mallorquín - castellano - latín Don Juan José Amengual



Juan José Amengual



https://ca.wikipedia.org/wiki/Joan_Josep_Amengual_i_Reus





De la "Gramática de la Lengua Mallorquina" de Juan José Amengual, primera edición en 1835 y 2ª edición en 1872, reeditada en 1995 bajo el título de "Gramàtica de sa Llengo Mallorquina", reproducimos, en homenaje al autor, el apartado dedicado a las figuras de construcción. (Tanto en castellano como en mallorquín conservamos la ortografía de la edición de 1872) . Figuras de construcción Las figuras de construcción son hipérbaton, elipsis, pleonasmo y silepsis. Hipérbaton invierte el órden de las palabras, como: es seus alàba càda cuàl, los suyos alaba cada cual. El pronombre séus, suyos, es el complemento del verbo alabar, y este del pronombre càda cuàl; de modo que en construcción natural debiera decirse: càda cuàl alàb' es séus, cada cual alaba á los suyos. Elipsis callam palabras esenciales á la integridad gramatical; pero no al sentido de la expresión, como: bònas tàrdas, buenas tardes, donde se calla el verbo tenir, tener, y un pronombre personal; pero se sobrentienden, pues equivale á decir: buenas tardes tenga V., etc. Pleonasmo aumenta palabras innecesarias al sentido de la proposición; no pero superfluas á su valor, como: digues m'ho à mi qui'u hé vist p'es méus uys, dímelo á mí que lo he visto por mis ojos; donde bastaba decir: dímelo que lo he visto, y así las palabras á mí y por mis ojos no son necesarias, pero tampoco superfluas porque aumentan la fuerza de la expresión. Silépsis falta á la concordancia gramatical; pero no á la concordancia del sentido, como: sa Magestàd es piadós, su Magestad es piadoso, donde el femenino Magestàd concuerda con el masculino piadoso; pero como Magestàd puede valer el tratamiento que se le da á un rey, el sentido del masculino piadoso concuerda con el sentido del masculino rey.

Juan José Amengual: GRAMÁTICA DE LA LENGUA MALLORQUINA, 2ª edición, Palma, 1872, págs 201-202

mallorquín - castellano - latín, Juan José Amengual

Nuevo diccionario mallorquín - castellano - latín
Don Juan José Amengual
Nuevo diccionario mallorquín - castellano - latín Don Juan José Amengual


LA ROSADA DEL MATÍ (viernes de hermandad)

VIERNES DE HERMANDAD. "LA ROSADA DEL MATÍ" al final.

Este es uno de los primeros viernes del año, de un año 2019 que esperamos va a ser intensísimo en nuestra lucha, vamos pues a comenzar hablando de ilusión, de mucha ilusión.

Cuando esta asociación comenzó su andadura en marzo del año pasado estábamos totalmente derrotados, prácticamente muertos, el catalán ha sido introducido como lengua oficial en Aragón, hoy casi un año después seguimos igual, pero tenemos otras sensaciones, cada día estamos mas convencidos de que el reconocimiento del Chapurriau como lo que es, una lengua aragonesa llegará, nuestros políticos acabaran por dignificarlo como se merece dándole este reconocimiento. Esto puede llegar en cualquier momento,
¿por qué no en este año 2019?
Nuestro trabajo dará sus frutos, este 2019 es el primer año en que por fin ya lo podemos conseguir, si no seguiremos trabajando con aun más ímpetu para conseguirlo el siguiente.

//

A dieu coman Bel Esgar,
E plus la cieutat d' Aurenza,
E Gloriet, e 'l Caslar, (: Castellar)
E lo senhor de Proenza,
E tot quan vol mon ben lai;
Mas lai on son fait l' assai,
Cellui perdei c' a ma vida,
E 'n serai totz jornz marrida.


châtelain, catalán, català, catalá, catalan, castell, castellán, castellano, castlà, castla,

A finales del 2018 hemos trabajado mucho, hemos salido de nuestros pueblos para hacer participes de nuestro problema a nuestros conciudadanos, y estos masivamente nos están apoyando, un día de diciembre fuimos a Zaragoza y allí nos hemos quedado, también allí hay gente trabajando por el Chapurriau, cada día somos mas, cada día somos mas fuertes, esto no para de crecer, solo nos pueden parar nuestros políticos reconociendo, y dignificando al Chapurriau.

dialecto, lengua

Hoy ya podemos sacar muchas conclusiones, nos hemos reunido con mucha gente afines o no, hoy tenemos ya un claro diagnóstico de la situación en nuestros pueblos, entre los defensores del catalán hay dos tendencias, unos son los más radicales, / aparte de los locos como Manuel Riu Fillat / llevan treinta años de propaganda, de intoxicación de nuestra sociedad, están teniendo muchos medios a su alcance para convencer a cuanta mas gente mejor, sobre todo a los mas jóvenes.



Óscar Adamuz, moviment franjolí
La brossada de moviment franjolí

Con estos es casi imposible dialogar, son pocos, poquísimos, pero muy alborotadores, son los que mandan, diríamos que son la espada del catalán. (Yo diría que son la navajica plateá del catalanismo)



Arturo Quintana Font
Arturo Quintana Font

Ignacio Sorolla Vidal
Ignacio Sorolla Vidal, Natxo Sorolla Mela


Luego hay otro grupo mayoritario entre la minoría que defiende al catalán, que son las víctimas de esta campaña de tres décadas, son aquellos que les han creído de alguna forma, son como nosotros a la hora de defender nuestra forma de hablar, solo discrepamos a la

hora de escribirlo, tenemos pues mucho en común, ellos reconocen incluso que sus padres afirman hablar Chapurriau, por eso quieren defender la lengua que han recibido de sus padres, hablándola igual, en esto todos estamos de acuerdo, pero han sido convencidos en que tienen que escribirla usando la gramática catalana / la de Pompeyo Fabra, hay otras anteriores /y allí esta el error. ¿No os dais cuenta que estáis escribiendo cien por cien en catalán, no en vuestra lengua?, con la escritura os están introduciendo sus palabras, sus expresiones, vuestros hijos se están familiarizando con ellas, los están fabricando con el mismo molde que en Cataluña, allí antes de la creación de la gramática oficial también había muchos dialectos, / ver lleidatà / hoy están en vías de desaparecer, / Amanda Ulldemolins, filóloga de catalán, de Tortosa - Terres de l´Ebre / todos los jóvenes han sido fabricados con el mismo molde, el oficial, no se tienen para nada en cuenta a las diferentes variantes que allí existían, esto es exactamente lo que pasará aquí, ¿queréis esto para vuestros hijos?, nosotros para los nuestros NO. 



Reyes magos catalanes
En esta enorme campaña pro catalán nos están tratando de colar que existen diferentes tipos de catalán, el de aquí, el de allí.... esto es una enorme falsedad que ni ellos mismos se creen, que no os engañen, ellos solo creen en el catalán, el único, el de allí, pensad que cuando hacen actos en defensa del catalán aquí en Aragón, echan mano de personalidades del otro lado de la frontera, que ni conocen ni pretenden conocer nuestra realidad lingüística, la de Aragón, la que también es vuestra, ¿esto no os da que pensar?.


catalanista, castellano, catalán, Groucho Marx

cathalana, valenciana, lengua, llengua, vulgar, llati, latín, llatí

Hoy es momento de tender puentes entre nosotros, es mucho lo que nos une, y lo que nos separa se puede hablar, nos une lo principal que es el amor por nuestra tierra, el resultado de nuestra unión será impresionante, la total unanimidad.

Hoy dentro de nuestros viernes poéticos os dedicamos nuestra poesía.

"LA ROSADA DEL MATÍ"

La rosada del matí
no gelará lo nostre ímpetu
tenim lo mateix sentí
per lo nostre parlá, lo Chapurriau
mol de acuerdo estem tots
que volem defensá lo nostre parlá
ajuntem tots lo nostre esfors
y entre tots lo farem respetá
avui ya mos unix un sentimen
es ben diferén lo nostre parlá
después ya vorem com lo escribirem (escriurem)
lo nostre parlá no es catalá
no volem al pebrot, si lo primentó
som diferéns, mai inferiós
lo nostre articul no es el, es lo
la nostra unió mos fará millós
aislem als que mos volen confundí
units conseguirem la unanimidat
despullem als que no paren de mentí
que se imposo la nostra voluntat
que la rosada del matí
gelo tota la seua maldat
y que la caló de la gen de aquí
alimento a la nostra germandat.


Prat de la Riba

Prat de la Riba, (Gaceta)

"
Había que acabar de una vez con esa monstruosa bifurcación de nuestra alma, había que saber que éramos catalanes y que no éramos más que catalanes (…) Esta segunda fase del proceso de nacionalización catalana, no la hizo el amor, como la primera, sino el odio (…) tanto como exageramos la apología de lo nuestro, rebajamos y menospreciamos todo lo castellano, a tuertas y a derechas, sin medida”
...

La pedagogía del odio, vista la nula reacción del Estado, ha ido haciéndose cada vez más explícita, menos disimulada. Recientemente TV3 equiparó, a través de un documental, a España con un maltratador. Directamente. Y al presidente del Gobierno y varios ministros con dirigentes nazis. Directamente. Durante la cadena humana, la televisión pública mostró cómo una niña de no más de diez años advertía, visiblemente alterada, que había que “derrotar a España”.
La acompañaban decenas de niños de capas esteladas que repetían consignas políticas en bucle. Consignas de rechazo “al invasor”. El odio.

El periodista francés Frédéric Hermel señalaba, sólo unos minutos después del partido, la causa que explicaba el aquelarre del Camp Nou: (Francisco Franco Bahamonde les dio alguna perrica)

“¡Qué error ha cometido la democracia española dejando la educación a nivel local! Esto es lo que está matando a este país. Llevo muchos años aquí pero todavía me asombro viendo estas cosas. A lo mejor porque no he nacido aquí y no lo entiendo. […] Es alucinante. Criamos a los niños en el odio hacia España, y así está».

Mas la educación supone solamente uno de los engranajes de la fabulosa maquinaria de ingeniería social puesta en marcha hace cuarenta años. Porque se celebran congresos, con apoyo público de la Generalidad, cuyo fin es explicar “cómo España ha ido contra Cataluña”. Porque se queman fotografías del Jefe del Estado y banderas de España como ceremonia habitual para cerrar manifestaciones. Porque se profieren gritos a favor de Terra Lliure durante los actos de la llamada Asamblea Nacional Catalana. Desde el propio escenario.

Porque ya todo vale, la apatía institucional ha tolerado sistemáticamente la humillación de los símbolos nacionales y ha ofrecido barra libre de odio a cualquier hooligan que, como el diputado Joan Tardà, le apetezca gritar “¡Muera el Borbón!” con total impunidad. (Es lo que pasa cuando se abusa del Bourbon)

Tardà, no beguis tant


La tragedia de España es que se ha normalizado la hispanofobia, que ésta alcanza ya carácter ambiental y está tristemente arraigada en el imaginario colectivo de millones de catalanes. Manifestaciones populares como un carnaval sirvieron hace unos meses para animar “a matar españoles”, con señal de televisión en directo para toda Cataluña.
La normalización del odio, su aceptación como algo cotidiano, no ha de sorprender cuando es el propio presidente de la Generalidad quien habla de “una España subsidiada frente a una Cataluña productiva”; cuando es el propio presidente de la Generalidad quien se ríe del acento de gallegos o andaluces en sede parlamentaria; quien celebra tours internacionales en los que denuncia “el déficit democrático del Estado Español” y pide “ayuda” a otras naciones; quien esconde el retrato del jefe del Estado detrás de cortinas negras; quien emplea términos como “expolio” o “robo” para referirse a la relación con el resto de españoles o quien, en definitiva, sonríe mientras se humilla a España en un estadio de fútbol. (El odio catalanista).

tv3%, Cataluña, arma aborregamiento masivo, Espanya et roba, boba

Lo mismo pasa en el País Vasco

Castelh, s. m., lat. castellum (castrum), château.

(N. E. Variantes de Catalunha, con o sin h, Cathalunya, Catalugna,  Cataluenha, Catalunhia, CataloniaChastelongne; castelh, castell, châtelaincastellaincastellancastellanscastellano, castellana, cataláncatalanachastelchâteaucastillocastilloscastiellocastiellos, etc.)

Lo castel de Berengs, n' el castel de Causac n' el castel de Monteacuto.

Titre de 960.

Le château de Bereng, et le château de Causac et le château de Montaigu. (Montagut)

Luenh es lo castelhs e la tors

Ont elha jay e son maritz.

G. Rudel: Pro ai del.

Loin est le château et la tour où elle couche et son mari.

Fig. La servela es castels e bailieus que tot a en garda.

Liv. de Sydrac, fol. 34.

La cervelle est le château et le gouverneur qui a tout en garde.

ANC. FR. Qui à un sien chastel estoit.

Roman du châtelain de Couci, v. 4061.

En vostre chastel du Louvre... Se sauvèrent de chastel en chastel.

Monstrelet, p. 120 et 170.

ANC. ESP. Cercaron à Anchira un castiello.

Poema de Alexandro, cop, 793.

CAT. (chap.) Castell. ESP. Castillo. PORT. IT. Castello.

2. Castelet, s. m., petit château, châtelet.

E pren castels e vilas e borcs e casteletz.

Guillaume de Tudela.

Et prend châteaux et villes et bourgs et châtelets.

ANC. FR. Li dus tel chastelet i fist.

Roman de Rou, v. 8608.

CAT. (chap.) Castellet. ESP. Castillete (castillito). IT. Castelletto.

3. Caslar, s. m., château-fort, tertre, éminence.

Un bel caslar en mieg d'un plan cambo.

Bertrand de Born: Pus Ventedorn.

Un beau château-fort au milieu d'un vallon uni.

Lo qual caslar es pausat en las apartenensas del castel de Belcastel.

Tit. de 1295. DOAT, t. CXXXIX, fol. 125.

Lequel château-fort est posé dans les appartenances du château de- Belcastel. (Beau-château)

E vic las forcas dreytas de costa un caslar.

Roman de Fierabras, v. 3081.

Et il vit les fourches droites à côté d'une éminence.

4. Castelar, s. m., bourg, château-fort.

E 'l caslar e 'l castelar.

Tit. de 1248. Arch. du Roy., J, 323.

Et le château-fort et le bourg.

5. Castellat, adj., fortifié, qui est en forme de château.

Era mot fortment torrada et castelada.

De corona castelada et torrelada.

Eluc. de las propr., fol. 166 et 157.

Elle était fortement tourelée et fortifiée.

De couronne en forme de château et tourelée.

6. Castellania, s. f., châtellenie.

Bayliadges, castellanias.

Tit. de 1373. DOAT, t. CXXXV, fol. 84.

Bailliages, châtellenies,

Dins la castellania et dins lo destret de la baronia de Milhau.

Tit. de 1310. DOAT, t. CLXXIX, fol. 110.

Dans la châtellenie et dans le district de la baronnie de Milhau.

CAT. ESP. (chap. castellanía) IT. Castellania.

7. Castellan, s. m., châtelain. (N. E. catalán, castellán, castellano)

Fo un gentils castelas del comtat de Rossilhon.

V. de Guillaume de Cabestaing.
(N. E. Guillem de Cabestany, catalán, - muerte en 1212.)

Fut un gentil châtelain du comté de Roussillon.

Bertrans de Born si fo un castellans de l'evescat de Peiregors.

V. de Bertrand de Born.

Bertrand de Born fut un châtelain de l'évêché de Périgord.

ANC. FR. Lors absolst le castellain.

Chronique de Cambrai.

CAT. (chap) Castellá (castellà). ESP. Castellán (sin tilde en los documentos antiguos). PORT. Castellão. IT. Castellano.

Catalán = Castellano

La palabra catalán viene del francés Châtelain (chatelán) y significa castellano, castillo en francés es château. Los franceses usaban una palabra que significa castellano para referirse a las personas que vivían en la marca hispánica. Châtelaine = castellana.

Catalán = Castellano
Catalana = Castellana


La coumtesso Alaïs , Adlaïs, femme de Geoffroy, comte de Provence (10e siècle) ; la bello Avalais, Alazaïs de Bouissesoun, châtelaine de Lombers (Tarn), chantée par le troubadour Raimond de Miraval et aimée par le roi Pierre II d'Aragon (1218);
Alazaïs de 
Marsilio, épouse de Barrai, vicomte de Marseilleaimée et chantée par le troubadour Pierre Vidal.

Châtelain, Mistral, castellano, Châtelaine, castellana

Felibrige, Felibritge, Mistral

Vox , firma , recuperar educación


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La Constitución Española de 1978, en su artículo 27, califica a la educación como un derecho fundamental de todos los ciudadanos. Se cita en el punto 2º del mencionado artículo que la misma tendrá por objeto el pleno desarrollo de la personalidad humana en el respeto de los principios democráticos de convivencia y a los derechos y libertades fundamentales.

El respeto a los principios que marcan la Constitución requiere un modelo educativo que garantice:
  • La educación como un derecho de las personas y no un mecanismo de adoctrinamiento ni un medio para separar o enfrentar a los españoles.
  • No existan barreras en la movilidad de las personas.
  • Un diseño curricular común que permita mayores oportunidades en todo el territorio nacional.
  • Potenciar los contenidos comunes y fomentar el uso de los mismos criterios en los libros de texto.
  • Un funcionamiento eficaz de la Alta Inspección Educativa.
  • El respeto del derecho de los ciudadanos a elegir, entre las lenguas oficiales en el territorio, la lengua vehicular en que van a recibir la enseñanza sus hijos.
  • Corregir la gran brecha educativa entre las distintas comunidades autónomas puesta de manifiesto por el Informe Pisa.

MARCO NORMATIVO 
El derecho a la educación se encuentra recogido en la Constitución Española de 1978 en el artículo 27, dentro de la Sección 1ª del Capítulo II del Título I. La educación se recoge por tanto como un derecho fundamental de todos los españoles. Se cita en el punto 2º del mencionado artículo que la misma tendrá por objeto el pleno desarrollo de la personalidad humana en el respeto de los principios democráticos de convivencia y a los derechos y libertades fundamentales y en el punto 6º  se reconoce la libertad de creación de centros docentes dentro del respeto a los principios constitucionales.
Recoge también el mencionado artículo 27 los deberes de los poderes públicos tales como garantizar el derecho a la educación mediante una «programación general» de la enseñanza con participación de todos los sectores afectados, inspeccionar y homologar el sistema educativo para garantizar el cumplimiento de las leyes y la obligación de garantizar el derecho de los padres a que sus hijos reciban la formación religiosa y moral que esté de acuerdo con sus propias convicciones.
El sistema educativo establecido por la Constitución ha de completarse por razón de distribución de funciones dentro del Estado Autonómico. Las inquietudes suscitadas a la hora de completar la definición del derecho a la educación en la Constitución, fueron igualmente trasladadas a un terreno mucho más delicado como es el de la clarificación del sistema de distribución de competencias en el ámbito educativo. El artículo 9.2 de la Constitución prevé la intervención de los poderes públicos en la sociedad para asegurar un Estado Social garante de los derechos y libertades de los ciudadanos. Dicha actuación, pues, abarca de igual forma a las Comunidades Autónomas, las cuales adquieren hoy en cuanto a las prestaciones de carácter social  una relevancia mayúscula. No obstante debemos considerar que la Constitución otorga al Estado, sin duda, el papel preeminente sobre la instrucción tanto pública como privada.
Si bien no existe una taxativa enumeración de las competencias educativas que corresponde asumir al Estado y a las Comunidades Autónomas, sí que es conveniente, por lo menos, definir en primer lugar las competencias exclusivas que tiene asignadas el Estado en virtud del artículo 149.1 de la Constitución.
En efecto, el artículo 149.1.1ª asigna un ámbito previo y exclusivo, que no excluyente, de competencias de atribución: «la regulación de las condiciones básicas que garanticen la igualdad de todos los españoles en el ejercicio de los derechos y en el cumplimiento de los deberes constitucionales». En este sentido, la Sentencia del Tribunal Constitucional de 13 de febrero de 1981 reafirmó la potestad del Estado al establecer «ordenación general del sistema educativo» para garantizar dicha igualdad.
De otro lado, el artículo 149.1.30ª de la Constitución atribuye al Estado competencia exclusiva sobre la «regulación de las condiciones de obtención, expedición y homologación de los títulos académicos y profesionales y normas básicas para el desarrollo del artículo 27 de la Constitución, a fin de garantizar el cumplimiento de las obligaciones de los poderes públicos en esta materia».
Queda clara, pues, la necesidad de que el sistema educativo esté homologado en todo el territorio del Estado. La igualdad de derechos de todos los españoles hace que sean competencia del Estado cuatro ámbitos característicos como son la ordenación general del sistema educativo, la programación general de la enseñanza, la fijación de las enseñanzas mínimas y la alta inspección.
EXPOSICIÓN DE MOTIVOS
La educación tiene por objeto el pleno desarrollo de la personalidad humana en el respeto a los principios democráticos de convivencia y a los derechos y libertades fundamentales. El modelo educativo, partiendo de una mentalidad constructiva, debe ser integrador y buscar el consenso en las competencias básicas.
Un modelo integrador basado en la recuperación de las competencias de educación por parte del Estado que permita:
  1. Eliminar restricciones a la libertad y la igualdad de los españoles
La Constitución Española de 1978, en su artículo 27, califica a la educación como un derecho fundamental de todos los ciudadanos. Este rasgo esencial ha de interpretarse en conexión con otros artículos en los que se menciona la libertad y la igualdad como valores supremos de nuestro ordenamiento jurídico (art. 1.1); la obligación de los poderes públicos de promover la igualdad y la libertad y de remover los obstáculos que las dificulten (art. 9.2); sobre la dignidad de la persona y el libre desarrollo de la personalidad (art. 10.1); igualdad de los españoles en sus derechos fuese cual fuese el lugar del territorio nacional en que se encuentren (art. 139.1).

El respeto a los principios que marcan la Constitución debe marcar las líneas maestras de un modelo educativo que garantice:
  • El respeto a los principios democráticos de convivencia y a los derechos y libertades fundamentales y la Constitución sanciona.

  • La educación como un derecho de las personas y no un mecanismo de adoctrinamiento ni un medio para separar o enfrentar a los españoles.

  • No existan barreras en la movilidad de las personas de forma que un alumno que cambia de domicilio no se tope con barreas o tenga mayores dificultades en su aprendizaje. El ejercicio eficaz del derecho a la libertad de circulación, establecimiento y elección de residencia cobra especial trascendencia sobre todo para las familias con hijos en edad escolar, de forma no vean obstaculizado su proceso de aprendizaje académico, con los graves e irreparables perjuicios que esto pueda ocasionar en su futuro.

  • Un diseño curricular común que permita mayores oportunidades en todo el territorio nacional.

  • Potenciar los contenidos comunes y fomentar el uso de los mismos criterios en los libros de texto.

  • Un funcionamiento eficaz de la Alta Inspección Educativa, de forma que no vea limitada su actuación en aquellas Comunidades Autónomas en las que la lengua se emplea como mecanismos de adoctrinamiento.

  • El respeto del derecho de los ciudadanos a elegir, entre las lenguas oficiales en el territorio, la lengua vehicular en que van a recibir la enseñanza sus hijos. La Constitución indica en su artículo 3.1. que el castellano es la lengua española oficial del Estado y que todos los españoles tienen el deber de conocerla y el derecho a usarla.

  1. Corregir las diferencias puestas de manifiesto en el Informe PISA
El informe PISA revela cada año una gran brecha educativa entre distintas comunidades autónomas. Creando "17 sistemas educativos distintos" en España.
Estas diferencias regionales son:
  • Grandes diferencias entre los niveles de financiación pública educativa media.

  • El sueldo de un maestro no es el mismo y cambia en cada comunidad. Los complementos específicos y de destino de las CCAA provocan grandes diferencias entre los sueldos de los docentes de Primaria. Los maestros cobran a final de mes una nómina tan dispar que puede llegar a variar hasta un 28% entre los más y menos remunerados. A la cabeza, Ceuta y Melilla, País Vasco y Canarias; a la cola, Asturias, Galicia y Aragón.

  • En las tasas de fracaso escolar y el abandono temprano.

  • El número medio de alumnos por profesor (Ratio) es muy diferente en cada comunidad.

  • El número de días lectivos es mucho más homogéneo en las diferentes Comunidades Autónomas en Educación Primaria que en Educación Secundaria Obligatoria (ESO) o Bachillerato.

  • Las horas lectivas de los profesores de Secundaria cambian en cada comunidad.

  • Según el territorio de que se trate, el reparto de horas dedicadas a la lengua a lo largo de ese nivel educativo es muy dispar. En general, las comunidades con lengua cooficial destinan menos horas a lengua común del Estado. De ellas, el País Vasco es la que más horas consagra, en varios de sus modelos, a la lengua cooficial, 822,5, tantas como al español. A País Vasco le siguen otras dos comunidades bilingües, Galicia y Comunidad Valenciana, en uno de sus modelos.

  • Una diferencia de gasto por alumno entre comunidades autónomas que llega prácticamente a doblarse entre los 5.000 a 10.000 euros aproximadamente, generadora de diferencias entre españoles.

  • En el porcentaje de diseño curricular específico correspondientes a las CCAA. Así, se han provocado diferencias de cargas lectivas en materias troncales instrumentales, como las Matemáticas y la Lengua española, de más del 30% de variación según casos entre las CCAA.

  • Existen diferencias muy importantes en el tratamiento de una asignatura según la comunidad autónoma. En consecuencia, un libro de texto puede tener 25 versiones distintas por exigencia de las comunidades autónomas debido a la diversidad curricular.

  • Diferencias en la gratuidad de libros. De las 17 comunidades autónomas y las dos ciudades autónomas (Ceuta y Melilla), tres ofrecen libros de texto gratis, y otra tiene el programa paralizado.

  • Profundas diferencias entre comunidades en relación con la autonomía a los centros, desde los que defienden la máxima autonomía para los centros a los que no quieren ni planteársela; de los que quieren que en los procesos de admisión existan zonas únicas de máxima libertad de elección de centros para los padres, a aquellos que defienden las zonificaciones atomizadas que prácticamente determinan que sea la administración la que elige escuela para cada alumno. Y mientras que unos opinan que los directores deben ser elegidos casi de forma asamblearia, otros entienden que se debe producir un nombramiento directo de la Administración sin intervención de nadie más.

  • Criterios variados para la mejora de obtención de resultados. Esto supone que en la actualidad existe una diferencia autonómica de hasta más de 20 puntos en la obtención de la titulación en Educación Secundaria Obligatoria.

  • La aplicación de diferentes políticas claves está produciendo efectos de polarización de resultados finales que separan a las comunidades autónomas en más de un curso académico de instrucción acumulada en los alumnos de 15 años.

Debemos aspirar a un modelo de estado que garantice la igualdad y la libertad y potencie valores tales como la prudencia, la unidad, la solidaridad y la eficiencia en la gestión. Es en este marco en que el que consideramos necesaria la recuperación de las competencias por parte del Estado Central. Competencias que en este escrito circunscribimos a educación, pero que se deberían hacer extensibles a ámbitos como la sanidad, la seguridad interior y la justicia.

PROPUESTA

Nuestra Constitución menciona en su artículo 92 que las decisiones políticas de especial trascendencia podrán ser sometidas a referéndum consultivo de todos los ciudadanos.
Entendemos que es asunto de especial trascendencia implantar un modelo integrador que logre un sistema educativo más homogéneo que garantice unas condiciones igualitarias de desarrollo social y económico en todas las Comunidades a través de la educación, en consonancia con los principios constitucionales. Un modelo de sistema educativo común en toda España, estable y libre de adoctrinamiento y conveniencias ideológicas.

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